1er juillet '17

Bref j'ai pensé à JR toute la journée, et puis ça me fait bader à mort cette situation, de regarder 40 fois pour voir s'il m'a pas bloqué, ou s'il me sollicite pour que l'on se vois, bref j'espère juste qu'il revienne et qu'on se reparle comme avant. Ça me bouffe cette situation, ça me bouffe encore plus que ce qu'on le croit...
Enfaite ce sont ses petites mains et sa petite langue qui me manque, le reste c'est moi qui demandait des câlins et tout ce qui était affectif... J'voulais dormir avec lui avant noël, car c'était la pire période de l'année pour moi, en plus sans mon grand père. Dormir avec Grim aurait été mon cadeau de noël, il aurait compensé le manque de mon grand père, je ne dis pas qu'il l'aurait remplacé, mais il aurait juste combler le vide et la peine que j'avais lorsque nous étions entrain de manger le repas de noël, sans mon grand père...
Bref... je voulais juste dormir avec lui, me blottir dans ses bras tout chaud, sentir son souffle m'apaiser et être en sécurité avec lui, dans le même lit. J'en sais rien, cette image apaise mes mœurs du passé, et comble mon esprit de positivité intense, que je n'avais jamais ressenti avant. Malheureusement, on a faillit dormir deux fois ensemble, et les deux fois je les ais foirés... à cause d'excuses bidons, du genre : "Je taff demain", ou "Mes parents vont s'inquiéter", j'regrette tellement, j'aurais voulu faire un effort pour être avec lui, au moins une nuit. Je n'ai jamais dormi chez des amies, pourtant on me l'a proposé pas mal de fois, mais j'ai rarement accepté, même si j'en crevais d'envie. Grim aussi me l'avait proposé, et pareil j'en crevais d'envie, et c'était le premier garçon qui me le proposait, avant lui aucun mecs ne me sollicitait comme ceci. J'me sentais aimée & désirée, mais vraiment bien dans ma peau : je maigrissais presque à vue d'œil, j'étais descendue à 61. J'avais hâte d'être le weekend pour lui parler et pour que l'on se vois, on s'écrivais de temps en temps au taff, ou la nuit quand il était en pause
Quelle belle période, j'y pense tout le temps... J'ai mal... je veux que cette période existe encore, je ne vis plus depuis...